lundi 20 mars 2006

Paris chef lieu de la culture hongroise

Quelle ville au monde est capable d'aligner :
  • mercredi le film "Etre sans destin" (Sorstalanság)
  • jeudi le film "Amour Maudit" (Szerelemtöl sújtva)
  • vendredi l'époustouflant Akosh Szelevényi
  • samedi le princier chorégraphe-danseur Joseph Nadj
  • dimanche le film "Contrôle"

Non, ce n'est pas Budapest. La bonne réponse est Paris

J'ai eu l'immense bonheur cette semaine de voir trois des meilleurs films de la production hongroise au cinéma l'Entrepôt dans le cadre du festival "La Hongrie fait son cinéma", de m'offrir une soirée à l'Institut hongrois avec Akosh S. dont l'immense talent, la ferveur et la créativité n'ont d'égal que le mépris princier qu'il affiche pour les vendre et la soirée suivante à la Cité Internationale avec Joseph Nadj dont chaque représentation (salle archi-comble) est un pur moment de grâce et de bonheur. Akosh s'était fait accompagner d'un percussionniste de très grand talent : Gildas Etevenard . Quant à Joseph Nadj, par un curieux concours de circonstances, lui aussi s'était fait accompagner d'un géant de la percussion que je découvrais ce soir-là : Vladimir Tarasov.

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