mardi 8 novembre 2011

Essai - La musique (hongroise) adoucit-elle les moeurs? (2e partie)

"La deuxième partie de l'essai de Pierre Waline (voir la première partie le 7 novembre 2011)

Si j’évoque ces exemples, c’est parce que j’ai le sentiment - mais je peux me tromper - d’une tendance à nous renfermer dans nos petits mondes nationaux pour y garder en otages (au moins moralement) nos artistes "bien de chez nous”. Ceci en pleine "mondialisation” et à l’heure où la technique (Internet, retransmissions télévisées ) efface frontières et distances.
J’ai toujours été étonné de voir comme les compositeurs de la période fin XVIIIe jusqu’au milieu du XIXe siècle avaient la bougeotte et passaient leur temps à sillonner l’Europe. Et dans quelles conditions ! Je n’ose même pas y penser. Mise à part l’exception Schubert, tous voyagèrent sans répit. Les compositeurs d’opéra napolitains entre Vienne, Naples et Saint Petersbourg. Sans même parler de Mozart.  Certes, la conscience nationale était encore balbutiante et n’allait s’éveiller que quelques décennies plus tard (mis à part le cas de la Révolution française, qui eut d’ailleurs ses compositeurs attitrés).  Donc des Européens avant la lettre ." La suite sur lepetitjournal.com

3 commentaires:

  1. Bonjour JP
    (je me refuse absolument de m'inscrire sur les réseaux sociaux: cela me parait trop difficile à gérer; en conséquence je ne peux répondre à monsieur Waline, puisque le petit journal conditionne cette inscription; merci de lui transmettre cette précision en vous l'appropriant - car peu importe au fond l'auteur)

    Courageux point de vue - merci
    Votre enthousiasme hongrois vous fait néanmoins affirmer "Liszt (--) termina ses jours à Budapest", or il est mort à Bayreurt; et Budapest ne fut qu'une des trois villes dans lesquelles il séjournait à ce moment
    "À partir de 1869 et jusqu’à sa mort, l’abbé Liszt partage son temps entre trois capitales : Budapest, Rome et Weimar qui correspondaient à trois tendances : sa sentimentalité hongroise, son mysticisme religieux et sa musique d’influence allemande. À Budapest, pendant les mois d’été, il continue à recevoir des élèves gratuitement, y compris Alexander Siloti. Il met alors de côté son activité de virtuose pour se consacrer essentiellement à la composition et à l’enseignement."
    - source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Franz_Liszt

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  2. Bonjour michartpoesho, j'ai l'impression qu'on peut commenter l'article de Pierre Waline sur le Petit journal sans s'inscrire sur les réseaux sociaux. Il suffit de décocher la case Publier sur Facebook.
    Bien à vous
    Jean-Pierre

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  3. Bonjour JP - non monsieur, impossible de passer un message sans être inscrit sur Facebq ou twit'!!!
    Alors merci de transmettre cette précision à l'intéressé - à moins que vous jugiez cela sans intérêt. Bien à vous. Mich

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