mardi 21 juillet 2015

András Schiff, entre classicisme et dissidence

"Le pianiste hongrois joue ce soir son répertoire fétiche au Verbier Festival. Né en 1953, il est l’un des orfèvres du clavier, versé dans Bach et le classicisme.
C’est un homme délicieux. Il parle d’une voix douce, ce qui ne l’empêche pas de se positionner avec fermeté. András Schiff n’a plus mis les pieds en Hongrie depuis plusieurs années et ne veut plus y jouer, tant que le premier ministre conservateur, Viktor Orban, sera au pouvoir. «Je ne peux pas approuver la situation politique actuelle en Hongrie. Certes, ce n’est pas une dictature. Il y a la liberté de mouvement et, rien que dans le secteur littéraire, l’activité est florissante avec d’excellents écrivains. Mais les médias, TV et radio, sont sous contrôle. Ça me préoccupe beaucoup.»" La suite sur letemps.ch

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